La technologie avance peu à peu et c’est par des petites choses qu’on peut avoir des grands ; la présence du robot en République Démocratique du Congo est l’œuvre de Mme l’Ir Thérèse Izay Kirongozi. Comme tout commence par chez-soi, celle-ci a commencé par planter les robots dans la ville de Kinshasa, puis les propager dans différentes villes, dans le but de permettre à une bonne circulation routière dans les villes.

C’est dans la nuit de ce mardi qu’un Robot de route a été placé au Rond-point Instigo celui-ci tente de résoudre les problèmes de circulation routière en coordonnant par commande réglé en minute afin que tout le monde se trouve satisfait en cas de passage. Chose nouvelle pour la population de Goma, une foule ce matin s’est mit a contempler les jestes (mouvements) du robot en ordonnant le passage tour a tour après une minute par tour.

Ayant vue cela, notre équipe s’est tenue à demander quelques avis de nos motards de la ville et certains chauffeurs de transville; les uns disent que c’est une bonne initiative pour permettre l’ordre dans la circulation et aussi la non-discrimination dans les passages pour les uns aux autres et les autres disent que ca tient à les embrouiller et ca crée même des embouteillages dans les passages du fait que les minutes réglées au Robot permettant de laisser passage pour que les autres passent et que les uns attendent sont un peu très coutres. Imaginez qu’on a réglé une minute de tour alors qu’on peu faire toute une minute et que lorsqu’on va compter le nombre des voitures qui passent dans cette minute là, c’est peut être 5 à 6 voitures seulement, alors qu’il n’y a pas seulement des voitures, les motos sont plus nombreux et même les voitures.

Quelle suggestion maintenant de leur côté ?

Les uns suggèrent qu’il est préférable de pouvoir ajouter le temps par passage pour qu’il n’y ait pas des embouteillages et prévenir les accidents routiers ; quant aux autres disent qu’il faut encore apprendre les différents signes que le robot signale pendant son action de tourner.

Ce qu’il faut savoir est que lors de son action, le robot signale avec les mains de part et d’autre d’une couleur verte et de vente au dos une couleur rouge. Ce qui veut dire que lorsque le robot lève les mains de gauche à droite, il permet le passage à ceux qui se trouvent à gauche et à droite, et signale l’attente pour ceux qui sont devant et derrière le robot.

Le but c’est de Gérer la circulation

L’histoire de ces robots de la route commence en mars 2013, lors d’une foire aux inventions organisée à l’Institut congolais supérieur des techniques appliquées (Ista). Un prototype, un robot en bois, dont la fonction principale est de faciliter le trafic urbain, attire l’attention de Thérèse Ir Izay Kirongozi, technicienne en électronique industrielle, diplômée de l’Ista. Rapidement, le créateur rejoint l’association de la femme d’affaires –Women’s Technology – pour développer l’automate…

Le premier robot, chargé de sécuriser les piétons, est placé sur la 13e rue de la commune populaire de Limete. Le deuxième, plus élaboré, gère la circulation au carrefour près du Parlement. Equipés de panneaux solaires alimentant des batteries, les machines – brevetées par le ministère de l’Industrie, Petites et Moyennes Entreprises – fonctionnent de 5h du matin à 23h30. «Machines qui pourraient fonctionner 24h/24 si l’Etat le demandait», précise Thérèse Ir Izay Kirongozi. Ces robots, conçus pour résister aux pluies diluviennes, aux fortes chaleurs et à la poussière de Kinshasa, sont 100 % made in Congo ; les seuls composants importés étant les caméras. Ils ont chacun coûté environ 10 000 dollars et leur entretien mensuel s’élève à 2 000 dollars. Tout a été financé par la chaîne de trois restaurants, Planet J – dont le président Sébastien Kirongozi, n’est autre que le mari de Thérèse Ir Izay Kirongozi.

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Ecrit par : Wabthomas et Ricoeur Suave

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