Le jeune rappeur d’une vingtaine d’années, auteur de  »Pharaon » , est devenu plus qu’un diamant.

Caché sous le drap du succès, le rappeur JKM devient petit à petit populaire grâce à ses chanson éducatives et à son style unique. Pour accompagner son succès, JKM a exposé son talent devant plus de 20 000 personnes lors du Festival Amani.

Il se passe toujours quelque chose lors des concerts de JKM… Toujours débordant d’énergie, le rappeur a effectivement pris l’habitude de défier ses fans d’être encore plus excités que lui lors de ses shows.
Lors de  » Amani Festival  », un immense festival organisé à l’Est de la RDC (Congo) aux allures de rendez-vous incontournable de l’année musicale, l’artiste a dépassé ses limites.

Actuellement, l’artiste prépare une tournée dans le grand Nord de la RDC après avoir signé précédemment un grand contrat avec son manager  »Jospin KAJIBWAMI » pour rester actif au regard de ses fans mais également il prépare quelques surprises pour ses fans telles que des feats avec des artistes connus dans d’autres régions comme  »Bukavu » ,  »Rwanda » et d’autres parties de  »Est Africa » car précédemment il avait lancé des chansons à grand succès comme  » Kadavere » ,  »Swali na Jibu » ,  »Hasira Zangu » et enfin sa nouveauté  » Pharaon »

Rempli de doute et d’assurance , JKM est habité par la peur d’être maladroit dans ses textes, de dire des bêtises , d’en dévoiler trop sur sa vie privée. Très actif sur les réseaux sociaux, il est bien conscient que pour les musiques urbaines, tout se passe désormais internet et les sites de streaming.
Comme tous les jeunes rappeurs, il sait ne pas « pouvoir compter sur les grands médias » pour assurer sa promotion. JKM maîtrise plutôt bien les codes la communication avec les fans sur les réseaux sociaux. Et apprend au fil des réactions, parfois violentes à se blinder contre les critiques. « Il y a une espèce de vague de commentaire haineux, presque du cyber harcèlement ».
Il veut faire un rap « engagé, revendicateur mais aussi inspiré du quotidien, des voyages, des aspirations ». Mais aussi « transmettre des messages sans oppresser son public ». Assez unique sur le point style dans un monde de rappeurs masculins, et a comme devise : « avoir le choix de devenir qui on a envie d’être ».

Rédigé par: Ricoeur-Suave

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